Tout d’abord, une précision :
« résoudre » les problématiques climatique sans s’occuper des crises environnementales et biodiversité (sur terre comme en mer), c’est comme mettre du scotch sur une fracture ouverte ! Ne pas s’appliquer à traiter uniquement le symptôme mais son origine au risque que le mal persiste, s’aggrave jusqu’à devenir incontrôlable. Malheureusement, le climat prend toute l’espace médiatique, le peu consacré à ces sujets.
Pour en revenir à la question de départ :
Les instances gouvernementale, dans leur obstination à vouloir servir les grandes puissances financières, lobbies et autres, deniant sciemment rapports et recommandations scientifiques au détriment du bien commun semblent hors course. Pire!
Ils s’évertuent à mettre tout les bâtons possibles et inimaginables dans les roues de ceux qui les dénoncent et/ou œuvrent en faveur du Vivant. En l’état, il n’y a à priori rien à attendre de ce côté.
Qui reste-t-il pour accélérer la transition ?
Toutes celles et ceux en conscience de ces dérives/abus, qui les combattent, qui agissent à leur niveau pour plus de respect, solidarité et d’harmonie. Tout ceux ayant intégré
* que le monde que nous connaissons n’est plus tenable, que de profonds changements, bouleversants nos quotidiens, sont indispensables,
* que nous devons apprendre à nous poser des limites, respecter le Vivant qui nous accompagne, s’y allier, le régénérant au lieu de le contraindre, le détruire,
* que nos vies, projets, etc connaîtront nécessairement des changements radicaux (ne pas en avoir peur, ne pas les voir comme des retours en arrière mais les optimiser au maximum avec les connaissances actuelles), tout cela, au final pour le mieux de tous!
En conclusion : Citoyens, associations, ONG, entreprises conscientes, …
Le chantier est immense, beaucoup sont ceux nous encourageant à le prendre avec enthousiasme, le rendre joyeu!
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